Voici quelques textes à méditer :



La nature, avec les prairies, les forêts, les montagnes, n’est pas seulement un décor dans lequel nous vivons, elle est la demeure d’esprits très évolués qui sont là au service de l’Intelligence cosmique. Alors, essayez de sentir la présence de ces esprits. Si vous pensez à vous lier à eux, à leur parler, à vous émerveiller devant la beauté du travail qu’ils accomplissent, ils se réjouiront, se prendront d’amitié pour vous, vous souriront, vous donneront des cadeaux : la vitalité, la joie, l’inspiration poétique et même la clairvoyance.


Chaque matin, au réveil

Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86.400 secondes de vie pour la journée, et, lorsque nous nous endormons le soir, il n’y a pas de report à nouveau. Ce qui n’a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer. Chaque matin cette magie recommence, nous sommes recrédités de 86.400 secondes de vie, et nous jouons avec cette règle incontournable. Alors qu’en faisons-nous de nos 86.400 secondes quotidiennes...... ?

Une histoire d'amour

"Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient :
le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres,
l'Amour y compris.
Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler.
Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.
Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.
Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.
La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau.
L'Amour lui dit : "Richesse, peux-tu m'emmener ? "
La Richesse répondit :
"Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau,
je n'ai pas de place pour toi."
L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil,
qui passait aussi dans un magnifique vaisseau :
"Orgueil, aide moi je t'en prie !"
" Je ne puis t'aider, Amour, tu es tout mouillé
et tu pourrais endommager mon bateau.", répondit l'Orgueil.
La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda :
"Tristesse, laisse moi venir avec toi ".
" Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"
Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour,
mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler !
Soudain, une voix dit : "Viens Amour, je te prends avec moi."
C'était un vieillard qui avait parlé.
L'Amour se sentit si reconnaissant
et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir,
qui était un autre vieillard : "Qui m'a aidé ?"
" C'était le Temps." répondit le Savoir.
" Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
" Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit :
"C'est parce que seul le temps est capable
de comprendre combien beau est l'Amour."

Les 13 Commandements

Le plus grand handicap : la peur

Le plus beau jour : aujourd’hui

La chose la plus facile: se tromper

La plus grande erreur : abandonner

Le plus grand défaut : l’égoïsme

La plus grande distraction : le travail

La pire banqueroute : le découragement

Les meilleurs professeurs : les enfants

Le plus grand besoin : le bon sens

Le plus bas sentiment : la jalousie

Le plus beau présent : le pardon

La plus grande connaissance : Dieu

La plus belle chose au monde : l’amour


Dépasser sa souffrance

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons.

Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couchésur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures.

Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils étaient allés en vacances.

Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel.De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante !

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.

Or, tout ce qu'il vit, fut un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. "Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager...", commenta-t-elle.

Moralité :

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves ! La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé !

Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.



Chaque moment est précieux...

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...
Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.
On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...
La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent.
Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ?
La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer.
Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.
Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, ' La Vraie Vie! 'Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer.
Et alors la vie allait commencer ! ! ! !
Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie.
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.
Le bonheur est le chemin.
Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.
Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION !

Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.
Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.


Grandir...

Tu es un enfant... quand tu n'as rien à dire au téléphone.
Tu es un ado... quand tu parles des heures au téléphone.
Tu es un adulte... quand tu paies les factures de téléphone.

Tu es un enfant... quand tu ne sais pas ce que tu veux faire dans la vie.
Tu es un ado... quand tu as le goût de ne rien faire dans la vie.
Tu es un adulte... quand tu te demandes pourquoi tu n'as rien fait dans la vie.

Tu es un enfant... quand tu t'habilles comme ta mère veut.
Tu es un ado... quand tu t'habilles comme tu veux.
Tu es un adulte... quand tu t'habilles comme tu peux.

Tu es un enfant... quand tu dors toute la nuit.
Tu es un ado... quand tu dors toute la journée.
Tu es un adulte... quand tu n'arrives plus à dormir.

Tu es un enfant... quand tu ne sais même pas que tu vis.
Tu es un ado... quand tu dis que tu n'as jamais demandé à vivre.
Tu es un adulte... quand tout ce qu'il te reste, c'est le savoir vivre.

Tu es un enfant... quand tu apprends continuellement.
Tu es un ado... quand tu n'apprends plus rien du tout.
Tu es un adulte... quand tu as tout oublié.

Tu es un enfant... quand tu ne comprends rien de ce qu'on te dit.
Tu es un ado... quand personne ne comprend rien de ce que tu dis.
Tu es un adulte... quand ce que tu dis n'intéresse plus personne.


Grand-mère...

« Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule ? »

Eh bien, vois-tu, j’apprends. J’apprends le petit, le minuscule, l’infini. J’apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne. J’apprends à être transparente, à regarder au lieu d’être regardée. J’apprends le goût de l’instant quand mes mains tremblent, la précipitation du coeur qui bat trop vite. J’apprends à marcher doucement, à bouger dans des limites plus étroites qu’avant et à y trouver un espace plus vaste que le ciel.

« Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mère ? »

J’apprends avec les arbres, et avec les oiseaux, j’apprends avec les nuages. J’apprends à rester en place, et à vivre dans le silence. J’apprends à garder les yeux ouverts et à écouter le vent, j’apprends la patience et aussi l’ennui ; j’apprends que la tristesse du coeur est un nuage, et nuage aussi le plaisir ; j’apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir et à recommencer sans me lasser.

« Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ? »

Parce qu’il me faut apprendre à regarder les os de mon visage et les veines de mes mains, à accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits et le goût précieux de chaque journée ; parce qu’avec l’élan de la vague et le long retrait des marées, j’apprends à voir du bout des doigts et à écouter avec les yeux. J’apprends qu’il faut aimer, que le bonheur des autres est notre propre bonheur, que leurs yeux reflètent dans nos yeux et leurs coeurs dans nos coeurs. J’apprends qu’on avance mieux en se donnant la main, que même un corps immobile danse quand le coeur est tranquille. Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là.

« Et avec tout ça, pour fini, qu’apprends-tu donc grand-mère ? »

J’apprends, dit la grand-mère à l’enfant, j’apprends à être vieille !

L'importance de la famille

En marchant sur le trottoir,
un étranger me bouscule en passant près de moi !
"Oh excusez-moi " lui dis-je !
Il me répond : "Je vous demande pardon aussi,
je ne vous avais pas vu !

Nous étions vraiment polis l'étranger et moi.

Nous avions échangé de belles paroles,
et nous avons repris
notre chemin en se laissant sur un" Au revoir ! "

Une fois à la maison...
Une histoire différente se passa.
Comment traitons-nous les amours de notre vie...
les jeunes et les plus âgés ?

Y avez-vous pensé ?

Plus tard dans l'après-midi, tout en préparant le souper,
mon fils arriva derrière moi et resta figé là, sans un mot.

En me retournant brusquement, je l'ai fait tomber.
"Pousse-toi de là, " Lui dis-je avec colère,
"toujours dans mes jambes" !

Il se retourna et s'en alla le coeur brisé.
Je n'avais pas réalisé la peine que je venais de lui faire.
Vers la fin de la soirée, j'allai me coucher et…

Et Dieu de sa douce voix.... me dit :

"Pourquoi est-ce si facile
d'être plein de gentillesse envers les étrangers
et ne pas être capable de le faire
pour les gens près de toi qui t'aiment et que tu aimes ? "
Lève-toi et vas voir sur le plancher de la cuisine.
Tu y trouveras un joli bouquet de fleurs près de la porte d'entrée…
ce sont les fleurs que ton fils t'avait apportées dans la journée.
Il a cueilli lui-même ces fleurs pour toi :
Il y en a de couleur rose, jaune et bleue.

Ce que tu n’as point compris,
c’est qu’il était arrivé derrière toi sans bruit
pour ne pas dévoiler la surprise qu'il voulait te faire.
Mais tu n'as jamais vu les larmes couler de ses yeux
quand tu lui as dit de partir. "

Je me levai pour aller voir près de la porte d'entrée
et vis le joli bouquet de fleurs par terre.
C'est à ce moment, que je commençai à me sentir vraiment mal,
alors mes yeux se remplirent de larmes...

Sans faire de bruit,
je me rendis près du lit de mon fils et lui dis :
"Réveille-toi trésor, réveille-toi ! " .
"Est-ce les fleurs que tu as cueillies pour moi aujourd'hui ?"
Il sourit et me répondit :
" J’ai trouvé ces fleurs près d'un arbre
et je les ai cueillies car je trouvais qu’elles étaient belles….
comme toi maman ! Je savais que tu les aimerais,
spécialement les bleues car je sais que tu aimes le bleu."
Je lui dis : " Mon fils, je suis vraiment désolée de la façon
dont j'ai agi avec toi aujourd'hui".
Je n'aurais jamais dû crier après toi comme je l'ai fait".
Il me répondit : " Oh, Maman, c'est ok.
Je t'aime quand même tu sais !"
" Mon fils, je t'aime aussi
et j'adore tes fleurs et spécialement les bleues".
Un grand moment de tendresse nous unit alors.

J'ai appris ce jour là,
à faire attention à mes proches
autant et sinon plus qu'aux étrangers.

Chaque enfant apprend par l'exemple

S'il vit entouré de critiques,...
il apprend à blâmer.

S'il vit entouré d'hostilité,...
il apprend à être agressif.

S'il vit entouré de moquerie,...
il apprend à être timide.

S'il vit entouré de honte,...
il apprend à se sentir coupable.

S'il vit entouré de tolérance,...
il apprend à être patient.

S'il vit entouré d'encouragement,...
il apprend à agir.

S'il vit entouré d'éloges,...
il apprend à complimenter.

S'il vit entouré de probité,...
il apprend à être juste.

S'il vit entouré de sécurité,...
il apprend à faire confiance.

S'il vit entouré d'approbation,...
il apprend à s'accepter.

S'il vit entouré d'amitié,...
il apprend à aimer la vie.

Maman

Un enfant, sur le point de venir au monde, demande à Dieu:
"On m'a dit que vous m'envoyez sur la terre demain, mais comment est-ce que je vais vivre là étant si petit et sans défense ?"
Dieu répond: "Parmi tous les anges, j'en ai choisi un pour toi. Ton ange t'attendra et prendra soin de toi."
L'enfant demande encore: "Mais dites-moi, ici au ciel, je n'ai rien à faire que de chanter et rire pour être heureux..."
Dieu dit: "Ton ange chantera pour toi et sourira aussi pour toi tous les jours. Tu sentiras aussi l'amour de ton ange et tu seras très heureux."
L'enfant demande: "Comment est-ce que je serai capable de comprendre quand les gens me parleront si je ne connais pas leur langage?"
Dieu dit: "Ton ange te dira les plus beaux et plus tendres mots que tu n'entendras jamais et, avec patience et attention, ton ange te montrera à parler."
L'enfant: "Et qu'est-ce que je ferai quand je voudrai vous parler?"
Dieu: "Ton ange placera tes mains ensemble et te montrera comment prier"
L'enfant: "J'ai entendu dire que sur la terre, il y a des hommes méchants. Qui me protègera?"
Dieu: "Ton ange te défendra même au risque de sa propre vie."
L'enfant: "Mais je vais être triste de ne plus vous voir!"
Dieu: "Ton ange te parlera de moi et te montrera la façon de revenir à moi. Et, je serai toujours là, à côté de toi..."
À ce moment là, c'était très calme au ciel, mais des voix venant de la terre pouvaient être entendues et l'enfant demanda: "Dieu, si je dois partir maintenant, s.v.p. dites-moi le nom de mon ange."

Dieu répondit: "Son nom n'est pas important, tu l'appelleras tout simplement maman..."

La pile de livres

Un jour, durant mes premières années de secondaire,
j'ai aperçu un gars de ma classe
qui retournait à la maison après l'école.
Il s'appelait "Kyle". On aurait dit qu'il
transportait tous ses livres et son matériel scolaire!

Je me suis dit " Pourquoi quelqu'un apporterait-il
tous ses livres un vendredi soir.
Il doit vraiment être un "nerd "...".

De mon côté, j'avais tout un week-end de planifié :
Sorties et partie de football avec mes amis.
Comme je passais près de lui,
un groupe de jeunes ont commencé
à se moquer de Kyle. Ils le pinçaient, ont fait
tomber ses livres et l'ont même poussé dans la boue.

Quand il est tombé, ses lunettes ont atterri
quelques pieds plus loin, dans le gazon.
Kyle a levé la tête et j'ai vu combien il était
triste et désorienté. J'ai vraiment ressenti un élan
de pitié pour lui...

Alors, j'ai couru jusqu'à lui et j'ai ramassé ses lunettes.Lorsqu'il a levé la tête vers moi,
j'ai vu quelques larmes dans ses yeux.
Ces gars-là étaient vraiment des imbéciles ",
Lui ai-je dit. Il m'a regardé et m'a remercié.
Il avait un énorme sourire dans lequel on pouvait voir toute
la gratitude du monde!

En l'aidant à ramasser ses livres, je lui ai demandé
où il habitait. J'ai été surpris de voir qu'il
habitait tout près de chez moi.

Il m'a alors expliqué qu'il allait auparavant
dans une école privée.
Je ne pensais jamais un jour être un copain avec un
petit " prep "...Nous avons parlé tout au long du chemin.
Il s'est révélé être un très bon gars.
Je lui ai alors demandé s'il voulait venir jouer au football
avec mes copains et moi le lendemain.
Il s'est empressé d'accepter.

Nous avons donc passé le week-end ensemble et,
plus le temps avançait, plus je me rendais compte que Kyle
était vraiment quelqu'un de bien.
D'ailleurs, mes amis aussi pensaient la même chose.

Le lundi matin, j'ai encore aperçu Kyle qui
retournait à l'école avec sa pile de livres.
Je l'ai rejoint encore une fois et lui ai dit:
" Wow! Tu finiras par avoir des muscles d'acier
à trimbaler tes livres comme ça!!!"
Il a bien ri et m'a passé la moitié de ses livres.

Durant les années qui ont suivi, nous sommes devenus
les meilleurs copains du monde.
Kyle était vraiment un élève très intelligent;
il voulait faire sa médecine tandis que moi,
j'allais finalement à l'université
grâce à une bourse de football!

Je l'agaçais tout le temps
en lui disant qu'il n'était qu'un " nerd"!

Pour notre graduation, Kyle devait préparer un discours.
J'étais bien content que ce ne soit pas moi!
Kyle était devenu un jeune homme bien dans sa peau,
qui plaisait beaucoup aux filles...

D'ailleurs, il faisait beaucoup plus de conquêtes que moi!


La journée de la graduation, je voyais bien que Kyle
était nerveux. Pour le rassurer, je lui ai donné une
bonne tape dans le dos en lui disant:

" Ne t'inquiète pas, tu vas être génial! "
Il m'a encore regardé avec un de ses regards,
celui plein de gratitude, et m'a remercié.

Lorsqu'il est arrivé devant le micro,
il s'est éclairci la gorge et a commencé son discours :
" Une graduation, c'est le moment idéal pour
remercier tous ceux qui nous ont aidé
durant toutes nos années du secondaire.

Nos parents, nos professeurs, nos entraîneurs...
mais surtout nos amis. Je suis ici pour vous dire
qu'être l'ami de quelqu'un,
c'est le plus beau cadeau qu'on peut lui donner.

Je vais vous raconter une histoire...
"J'étais vraiment très surpris lorsqu'il a commencé à raconter
notre première rencontre... Mais j'ai été encore plus
estomaqué lorsqu'il a raconté que cette fameuse fin
de semaine-là, il avait prévu de se suicider...
C'est pourquoi il avait apporté tous ses livres,
pour que sa mère ne soit pas obligée
de faire le ménage de son casier...

Il m'a regardé et m'a fait un sourire :
" Heureusement, j'ai été sauvé. Mon ami m'a empêché de
commettre l'irréparable. "

J'ai entendu le silence provoqué par son discours
dans la salle; le discours d'un jeune homme
distingué, beau bonhomme, intelligent et populaire...
Je me suis retourné et j'ai vu ses parents qui m'ont
souri avec le même regard plein de gratitude que Kyle
avait eu à mon égard.

Je n'avais jamais réalisé à quel point
cette journée avait été bienfaitrice pour lui.

Moralité :

Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions.
Avec un simple petit geste, on peut changer la vie
d'une personne... pour le meilleur ou le pire.
Nous avons tous un impact
dans la vie de tous les gens que nous rencontrons.

Les amis sont des anges
qui nous remettent sur nos pieds
quand nos ailes ne savent plus comment voler.

Entretien d'un fils avec son Père…

Un homme arrive chez lui un soir, fatigué après une dure journée de travail,
pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.

* Papa, est-ce que je peux te poser une question?
* Bien sûr!
* Combien gagnes-tu de l'heure?
* Mais ça ne te regarde pas fiston!
* Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!
* Bon, si tu veux absolument savoir. 35.00 € de l'heure.

Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :


* Papa, pourrais-tu me prêter 10.00 € ?
* Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
* Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante,
je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire agacer avec des betises semblables.

Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu
se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important…
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.

* Dors-tu fiston?
* Non, papa!
* Écoute, j'ai réfléchi et voici le 10.00 € que tu m'as demandé.
* Oh merci papa!

Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort 25.00 €.
Le père, en voyant l'argent, devient encore irrité.


* Mais pourquoi voulais-tu 10.00 € ?
Tu en as 25.00 € ! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
* C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant, j'en ai juste assez.
* Papa…est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps ?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt, j'aimerais dîner avec toi!!!

Moralité :

Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !

LA FOURCHETTE…

Il était une fois une jeune femme qui était atteinte d'une maladie mortelle et on lui donnait 3 mois à vivre. Comme elle mettait ses affaires en ordre, elle a contacté son prêtre pour lui demander de venir la voir pour régler certains détails de ses dernières volontés.

Elle lui a dit quelle chanson elle voulait à son service, quel texte devrait être lu et quels vêtements elle voulait pour être enterrée. Tout était en ordre et lorsque le prêtre s'apprêtait à partir, la jeune femme se souvint soudainement quelque chose de très important pour elle.

"Il y a une autre chose" dit-elle tout excitée.

"Quoi?" dit le prêtre.

"Ceci est très important," poursuit la jeune femme. "Je veux être enterrée avec une fourchette dans ma main droite."

Le pasteur se tenait devant la jeune femme, ne sachant trop quoi dire.

"Cela vous surprend, n'est-ce-pas?" demanda la jeune femme.

"Enfin, pour être honnête, je suis perplexe devant votre requête" dit le prêtre.

La jeune femme expliqua : "Ma grand-mère m'a raconté un jour cette histoire, et depuis ce jour-là j'ai toujours essayé de transmettre ce message aux gens que j'aime ainsi qu'à tous ceux qui ont besoin d'encouragement.

Dans toutes mes années de participation aux événements sociaux et dîners, je me souviens toujours qu'inévitablement quelqu'un se penchait pour me dire "Gardez votre fourchette". C'était ma partie préférée car je savais que quelque chose de mieux s'en venait.... comme du gâteau mousse au chocolat ou une tarte aux pommes. Quelque chose de merveilleux et avec de la substance!

Je veux juste ...que lorsque les gens me verront dans mon cercueil avec une fourchette à la main, ....qu'ils se demandent: "Pourquoi cette fourchette?" et ainsi vous pourrez leur dire "Gardez votre fourchette... le meilleur est à venir!"

Les yeux du prêtre se remplirent de larmes de joie; alors il prit la jeune femme dans ses bras pour lui dire au revoir. Il savait aussi que ce serait une des dernières fois qu'il la verrait avant sa mort.

Mais il savait également que cette jeune femme avait une meilleure idée du paradis que lui, comme bien des gens de près du double de son âge, avec le double d'expérience et de connaissance. Elle SAVAIT que quelque chose de mieux s'en venait.

Aux funérailles les gens défilaient devant la tombe de la jeune femme et ils voyaient sa jolie robe ainsi que la fourchette dans sa main droite.

Tour à tour, le pasteur entendait la question "Pourquoi la fourchette?"

Et tour à tour, le prêtre souriait.

Pendant son sermon, le prêtre raconta aux gens sa conversation avec la jeune femme peu de temps avant son décès. Il leur raconta également l'histoire de la fourchette ainsi ce que cela représentait pour elle.

Le prêtre dit aux gens combien il ne pouvait s'arrêter de penser à la fourchette et qu'eux aussi ne le pourrait pas non plus. Et il avait raison. Alors la prochaine fois que vous prendrez une fourchette dans votre main, aussi doucement que possible, laissez-lui vous rappeler que le meilleur est à venir.

Moralité :

Les amis sont des pierres précieuses. Ils vous font sourire et vous encouragent à atteindre vos buts. Ils vous prêtent une oreille attentive et vous disent de bonnes paroles et ouvrent toujours leurs coeurs pour vous.
Montrez à vos amis combien vous tenez à eux. Soyez toujours là pour eux-mêmes lorsque c'est vous qui avez le plus besoin d'eux. Car vous ne savez jamais quand ce sera leur tour de "garder leur fourchette". Chérissez le temps et les souvenirs que vous partagez... être ami avec quelqu'un n'est pas une opportunité mais une douce responsabilité.

Je remettrais des textes au fur et à mesure que j'en trouverais...